dimanche 9 novembre 2008

Barrosy et Sarkoso chantent le nouvel ordre mondial à l'unisson

Bien le bonjour,
Concitoyens, concitoyennes.
En cette conjoncture de crise financière ou plutôt de crise systémique organisée,
les olibrius s'agitent comme des feuilles mortes balayées par le vent.
Les discours pleuvent.
Il est temps de lire entre les lignes.

Notre petit président, jamais à cours de discours sophistes, s'évertue à convaincre par les mots,
alors que les faits, nous touchent par la force des choses et dans la réalité du quotidien.
Le but, est toujours que vous croyiez en l'apparence de ses paroles illusoires.

Il est évidement navrant et terrible de voir, à quel point, l'hypocrisie frappe les dirigeants.
Protégés dans leur confortable fonction, ils siègent et décident avec le portefeuille de l'Etat et des institutions, nourrit par le labeur de leurs serfs... pardon des citoyens.

Nous assistons, ce 07 novembre, une fois encore à un exercice bien connu et rodé.
Pour cette conférence de presse, monsieur Sarkozy est accompagné de son ami Juan Manuel Barroso, président de la Commission européenne.

Voici le liens de cette supercherie filmée :
http://www.elysee.fr/webtv/index.php?intChannelId=13&intVideoId=783

Notre premier fonctionnaire nous dit en résumé "qu'une réunion informelle à eu lieu afin de tirer les conséquences de la crise financière sans précédent qu'à connu le monde".

Attachez vos ceintures, ont va procéder au décollage et au décodage.

Profitant de l'agitation ambiante et de la panique générale, les dirigeants européens organisent des réunions d'urgence pour définir des solutions d'urgence.
En tête de file temporaire de l'Europe, Sarkozy en profite pour embarquer toute son équipe vers... les Etats-Unis.

Pour notre ami Sarkozy qui connait le scénario complet, la crise n'est qu'un mauvais épisode qui est terminé, oui car il emploi le passé : "crise que le monde a connu" et qui doit précéder la refonte du système, qu'ils dirigent officiellement, dans un nouvel ordre mondial.
En véritable illuminé, il sait évidement qu'elles sont les solutions qu'il doit appliquer.

N'est ce pas étonnant?
Il sait, d'un seul coup, comment tout régler, alors qu'il n'a pas pu prévoir ce qui allait arriver??
Sûre que ces amis américains ont du lui suggérer, la recette du succès.

En véritable révisionniste, il occulte les faits et les leçons du passé.
Pour notre avocat, la crise de 1929 n'a pas existé.
La crise actuelle est "sans précédent", il ne déroge pas à son habitude d'annoncer les choses avec le sensationnalisme des films de propagande hollywoodiens.
Cela lui donne du poids quitte à surenchérir dans la gravité.
Tout cela bien sur pour vous effrayer, vous noyer dans la démesure et lui conforter sa carrure de sauveur de l'humanité.

"Les mots ont un sens".
C'est Sarkozy qui le dit.
Il le répète, souvent.
Car il sait de quoi il parle.
Vous non.

Il nous dit que les chefs d'Etat européens ont décidé d'une position commune pour enrailler la crise. Mais non, mesdames et messieurs, détrompez vous. Barroso et Sarko ne veulent pas détruire la crise mais bien construire le nouvel ordre mondial.
Et la crise est en train de tout détruire.
Pour faire de la place.

Tout cela pour finalement nous dire qu'une position commune européenne sera défendue prochainement à Washington. Ces mots vous font croire qu'ils vont défendre vos intérêts de citoyens européens... alors que l'Europe les à déjà mis absolument de coté.

En fait ils vont se réunir pour mettre en place la future donne internationale.
Vous pensez peut être qu'ils peuvent réformer le système monétaire et économique mondial en clin d'œil... braves humains crédules.
Bien sur qu'ils ont un projets qu'ils gardaient sous le coude en attendant que la table soit rasée!

Vous devinez qu'il y a un hic quand, lorsque le film tourne et que les passagers sont divertis, le pilote s'équipe du seul parachute à bord et saute en dépressurisant l'avion.
C'est ce qui se passe pendant que vous dormez.
Et ce n'est rien d'autre.

Sarkozy chante :
"Le sommet de Washington, n'aura pas pour but d'analyser les causes de la crise".
Non, car ils savent déjà tout!
Cela ne sert à rien de chercher les responsables car se sont leurs prédécesseurs ou leurs amis voire eux même. Ce sont leurs maitre à penser et ceux qui ont financé leur accession au pouvoir.
Ce serait stupide de balancer ses complices à la justice alors qu'ils préparent le casse du siècle!

Souvenez vous ce même Sarko fesait la publicité du prêt hypothécaire en France en 2006, histoire de plomber les citoyens de son pays.
Prêt hypothécaire qui est en train de briser les espagnols... dont les dirigeants se vantaient il y a peu d'avoir le plus de citoyens propriétaires.
Vous êtes piégés, de tous cotés, par les élus et les banquiers :
"Main dans la main", phrase que Sarkozy et Barroso aime répéter.
Si vous n'êtes pas encore réveillé par l'indignation, revenons à nos moutons.
Cela mettra en branle votre confiance envers les mannequins qui animent les vitrines que sont les institutions.

Le sommet de Washington n'aura pas pour but un simple échange de palabre mais bien une prise de décision entre dirigeants du monde afin d'agir concrètement et immédiatement.
Car avant la crise il n'y avait pas de boulot pour ces agents du novo ordo seclorum.
Les réunions ne servaient qu'à raconter ses vacances sponsorisées.
D'un seul coup ils se prennent au sérieux.
C'est à dire, "bon on le décrète où non ce nouvel ordre mondial"?

Car voilà ce que la présidence de l'Europe prétend apporter comme réponse à la crise du système économique et financier :

- Nécessité de la transparence... le mot magique pour éloigner les soupçon de corruption.

- Modification des normes... c'est à dire des principes directeurs du système.

- Combat... (Sarkozy tousse) contre les paradis fiscaux... l'hypocrisie atteint son point culminant.

- Controle et supervision de toutes les institutions financière... avant la finance était sans foi ni loi, on le savait, on en avait les moyens, mais on a rien fait.

Privilégier le capitalisme d'entrepreneur face à la spéculation sur le court terme... on sent là que Sarkozy ne croit pas en ce qu'il dit.

Je ne peux pas prouver mes affirmations mais, c'est ce sens humains et instinctif qui parle, et qu'aucune science ne saura démonter et qui est lié à la survie de l'espèce.
Vous voyez ce que je veux dire?

Passons, notre sauveur auto proclamé reprend et insiste :
"Nous voulons changer la règle du jeu financier".
Voici juste un aide mémoire.


Tiens donc, après un siècle de drames sociaux et économiques orchestrés par les rois de la finance et de l'industrie mondiale, il se réveille enfin!
Non mais, il plaisante ou quoi le nain de jardin présidentiel?
Plus on avance dans le film de l'histoire de l'humanité et plus le jeux des dirigeants est mauvais.
Là on est en plein navet.
C'est de la série B politique.
Car à la real TV correspond la real politique.
La fiction se fond à la réalité.
Le scénario ne sert qu'à orienter les acteurs/participants et renforcer la mise en scène afin de susciter de l'émotion, faire de l'audimat, acquérir votre confiance et votre fidélité.

Sarkozy poursuit dans son rôle :
"L'Europe ira à Washington pour défendre une ligne... (il se touche le nez comme un cocaïnomane)... la transparence et la refondation".

Il lance ensuite son deuxième point :
Il insiste sur "L'inquiétude de tous les Etats européens devant la gravité de la situation économique et tous sont convaincus de la nécessité, de prendre des initiatives économiques après les initiatives financières, tous sont d'accords pour demander à la communauté de proposer une stratégie économique dès Washington, et tous sont d'accord sur la nécessité absolue d'une coordination des politiques économiques en Europe".
Avec un flou discursif qu'il cultive à la perfection Sarkozy noie le poisson.
Il est bien obligé d'expliquer ce qu'il fait mais sa langue n'a pas le droit de fourcher.
Il ne peut pas dire la vérité alors il la masque dans des évidences et des généralités.

Pour Sarko le mégalo, tous les Etats doivent aller "dans le même sens".
En gros en démocratie, vous n'avez plus le choix... c'est le super Etat européen qui, en temps de crise, reprend les rênes de votre Etat.
Le new world order commence là... où s'arrête vos voix.

Préparez vous au pire, car dans les moments d'urgence vous devez être prêt à accepter n'importe quoi et venant de n'importe qui. Voilà à quoi sert leur crise.
A vous acculer à l'inévitable même si prendre cette direction est pour vous indigne.
Or vous n'aurez bientôt plus le choix.
Car ils s'affairent à détruitre toutes les alternatives à leur new world order.

Vous sauterez par la fenêtre pour échapper aux flammes même si vous êtes au sommet d'un gratte ciel... cela ne vous rappel rien?
Et oui, car quand vous êtes au bord du gouffre, en déséquilibre, prêt à tomber, vous vous accrocheriez même à la lame d'une épée.

Plus tard, Nicolas se lâche, il ne suit plus son texte, il nous dit que la réunion entre les dirigeants était belle et bien "informelle".
C'est toute l'intimité d'une conférence de presse qui lui permet de se révéler.
Vient après le plus flagrant.
La discussion s'est donc faite hors du cadre institutionnel et les propos tenu on été ainsi libérés des contraintes démocratiques.
En somme tout ce fait comme lors des réunions informelles du groupe Bilderberg, du CFR, de la trilatérale ou encore de l'IFRI.
Avec Sarkozy à la présidence de l'Europe on se permet de se débarrasser du poids des protocoles et des conventions.
Ce genre d'attitude ne pose pas de problème aux journalistes dans la salle.
L'aura de Sarkozy le tout permis les hypnotise.
Mais pas moi!

La politique, vous n'êtes plus concerné, ces gens font la cuisine pour leurs appétits et ceux de leurs amis.
Ils dressent la table entre convives.
Ils sont en cuisine, au service et à table.
Vous pensez qu'ils vous lanceront des miettes à manger?
Probablement pas.
Rien, nada, nothing!
Vous ne pouvez vous payer ne serait ce qu'un café dans ce restaurant où la démocratie, c'est à dire la voix des esclaves, n'est jamais invitée.

Sarkozy était la veille avec son vieil amigo yankee Dji De beuliou Bush,
Avec lequel il en a profiter pour se concerter sur la position européenne à tenir.
A tout ceux qui ont voté pour Nicolas, vous pouvez dire adieu à votre beau pays.
Vous avez délibérément participé à l'anéantissement de notre belle nation.
Vous êtes patriote? Et bien tant pis la France c'est fini!
Bientôt vous voterez pour le président de l'Europe, ensuite peut être de l'union améro-européenne, n'espérons pas, dans un futur proche, du nouvel ordre mondial.
Mais non tout ça n'est qu'une sordide blague!
Si seulement.


Sarkozy va présenter un ligne unique qui va bien sur s'accorder à 100% avec George.
Il nous le dit si bien, "cela n'a rien d'agressif" envers les autres popositions européennes... car il n'a pas de "mandat impératif" de ces homologues européens mais c'est un "conseil informel" qu'il leur impose...
Il noit et renoit le poisson.
Même un requin ne tiendrait pas le coup.
Tout ça est très machiavélique tout de même monsieur Sarkozy.

Il remet une couche de tyrannie sur la tartine de la démocratie : "il faut s'habituer à une novation politique, l'Europe parle maintenant d'une même voix".

Traduction :
C'est moi qui décide, c'est comme ça et puis c'est tout!
Le tout prononcé avec un sourire en coin qui en dit long sur son profil psychologique.
En somme il savoure son pouvoir au moment présent, il profite de la jouissance de la toute puissance et est heureux de voir que, tous les journalistes gobent ses propos ubuesques sans même broncher.

Il a d'ailleurs souhaité allonger la durée de sa présidence européenne.
Personne ne voit rien venir, personne ne s'inquiète.
Jusqu'ici tout va bien.

Il remet encore une énième couche :
"Chacun doit prendre conscience de cette nouveauté" :
Les coups d'Etat voilà comment cela ce fait.
Devant le nez de tout le monde et avec arrogance comme si de rien n'était.
Michael Vendetta l'a bien compris et met en pratique la méthode Sarkozy mais sans réel succès.

Il nous précise que ces alliés idéologiques sont bien sur d'accord avec lui.
Aujourd'hui en politique tout va de soit.
Brassens nous avait prévenu... de la mauvaise réputation.
Gordon Brown et Angela Merkel sont comme JM Barroso deux proches de la politique de Bush.
L'amitié de ses collègues suffit à Sarkozy pour se défaire des constitutions et de la démocratie.
Pour la présidence du monde, votez Sarkozy!
Remarquez, vous ne serez pas consulté, il l'aura tout simplement dit.

Regardez comme ils s'aiment, cette bande de copains.
Estimation de ce qu'ils pensent à ce moment :
Bush : "Ah ont les a bien niqué"!
Merkel : "Ils croient tous encore qu'on est à leur service"!
Barosso : "On est super content, notre supecherie fonctionne à 2000%"!


Cependant la présidence d'Obama à l'air de gêner Sarkozy.
Il a informé Barak par téléphone de la position européenne uniquement "par courtoisie" et non par devoir.
Il a l'air de vouloir se dépêcher de réaliser ses projet avant que son amitié avec les USA de Bush ne soit consommé.
Que l'équipe présidentielle change, que le vent tourne.
Vite matelot Sarko, hisse la grand voile!
Manifestement ce ne sera pas la même avec le nouveau leader des Etats-unis.
Mais d'après Sarkozy : "un second sommet sur la gouvernance mondiale doit avoir lieu cette fois avec Bounty Barak Obama".
Peut être aura t il plus de mal avec un dirigeant intelligent qui ne travaille pas pour la même famille que lui!

C'est quoi le problème Nico?
On passe des Rothschild au Rockefeller?

Barroso enchaine au micro, "à l'unisson avec Sarko" son ami.
Rien de plus à ajouter, le moteur est le même change juste la carrosserie.
Il pourrait monter un groupe de gangsta rap.
Ils seraient très crédible en mafiosi.

Barroso insiste encre sur le fait qu'il faut réformer la gouvernance mondiale... alors qu'officiellement il n'y en a pas, dumoins en apparence.
En fait il souhaite juste nous dire que le nouvel ordre mondial va sortir de l'obscurité.
Que leur projet va se révéler au grand jour.
De grés ou de force...

Ce qui est étonnant c'est que ces chantres du new world order n'évoque jamais leur plan final.
Ils ne décrivent pas la gouvernance mondiale qu'ils souhaitent et qu'ils prônent.
Ils vous disent : on vous y dirige mais on ne peut vous dire où l'on va.
Tout cela en vous convainquant pour obtenir votre confiance.
Car l'horizon qu'ils ont prévus pour vous n'est pas beau.
Au fond de l'impasse obscure il vous feront le maillot.

Barroso nous dresse une esquisse très flou en nous disant que "les institutions du 21e siècle ne seront plus jamais les même que celle du 20e".
En somme vous avez cru en des pantins et des écrans de fumée comme l'ONU...
Mais tout cette vieillerie doit finir en brocante... comme la Société des Nations.

Rien que d'écouter les propos de Barroso et de lire tant de mauvaise foi et d'hypocrisie sur son visage, on a envie de rendre notre repas de midi.
Surtout lorsqu'il évoque la sécurité alimentaire des pays en voie de développement et que l'on sait ce que nous réserve le Codex Alimentarius.
En bref, place à la dépopulation grâce aux nouveau régime Barroso.
Vive les OGM pour les pays pauvres.

Son discours prend une dimension inhumaine.
On croit rêver quand il mime de la main ses dernières paroles :
"Il y a une réelle chance historique et je crois que l'Europe veut la saisir par les cheveux".
Barroso le violeur de la planète et de l'humanité ne va pas faire rater la chance d'établir une domination mondiale grâce à son poste de président de la commission européenne.

Eh oui, il justifie la mise en place de dictature mondiale par :
La sécurité alimentaire... mangez des OGM, vive l'agro industrie, à abat les vitamines et les nutriments, tuez les abeilles.
Les changements climatiques... Barroso à peur de bronzer, et surfe sur le mensonge et l'ignorance des causes du réchauffement planétaire.

Viennent enfin les questions des journalistes...
Ils aiment poser des questions sur des détails, mais jamais sur le fond.
Il ne font pas la synthèse des discours, noyés dans les montagnes d'informations quotidiennes et aveuglés par le devoir d'analyse.
J'aurais déjà posé comme question aux deux psychopathes :
"Pourquoi n'avez vous pas vu venir la crise alors que vous êtes capitaine du bateau et responsable de la vigie?
"Qu'est ce que ce nouvel ordre mondial vers lequel vous dirigez notre bateau"?
Mais non...

Première réponse à une question d'une journaliste de Libération :
Les journalistes sont bluffés par les écrans de fumée.

Trois chantiers auxquels Sarkozy souhaitent travailler avec Obama :

La réforme de la gouvernance mondiale... il y en avait un gouvernement mondial, je ne le savait pas, c'est pas l'ONU quand même?

La révolution du développement durable, de la croissance verte... alors que le réchauffement climatique est un gros bluff politique et n'est pas du à l'activité humaine mais au système solaire.

Le respect des engagements sur les objectifs du millénaires... quels sont ils? Ah bon on à prévus des choses sur mille ans?
Oui.
Une banque centrale mondiale à la place du FMI.
C'est ce que sous entend une réponse à un journaliste de Le Monde.

Pour finir Sarkozy semble toujours devoir se justifier de ces décisions comme si il était coupable de quelque chose de terriblement grave.
Il regarde Barroso en complisse et renchérit : "nous faisons un travail main dans la main et transparent".
Barroso acquièce, il ne vont quand même pas vous dire qu'ils se préparent à vous enculer!
A mon avis, Sarkozy sait ce qu'il a, à se reprocher.
Le G20 n'a rien de protocolaire, ce n'est pas internationalement légal, mais il joue au plus malin avec les journalistes en les narguant... parce qu'il maitrise sont sujet, qu'il est sur son terrain et que ces pauvres journalistes sont loin d'imaginer ce qui se trame pour Washington.
C'est à dire une réunion entre ministre de l'économie, chefs d'Etats... mélange d'eurogroupe, de sommet présidentiel, de G8, bref un gros charabiat.
Tellement gros que ça passe.

Nota bene : vous remarquerez, si vous êtes assez attentif et éclairé, que lorsque Sarkozy répond aux journalistes, il se touche fréquemment le nez, signe évident qu'il puise dans ces probable ressource de cocaïne pour s'inspirer.
Non monsieur le président je ne vous accuse pas!
Je comprend, les discours en public, les conférences de presse, le nouvel ordre mondial que vous attendez comme le père noël, le surmenage, le stress et tout ça, c'est vrai ça met la pression.
Une belle femme aussi volatile que l'alcool à combler...
Chacun est libre de consommer des drogues dans une sphère privée.
Pour ma part je reste au thé.



Je vous ai conservé le meilleur pour la faim.
Le dessert, je le sert à la fin pour les invités qui sont resté jusqu'au bout du festin.

En répondant à la question d'un journaliste allemand, merci à lui, Sarkozy nous lache un lapsus plus que révélateur :

"Nous passons dans un monde, le 21e siècle, où il n'y aura plus qu'une seule monnaie"...

Il se reprend : "où il n'y a pas qu'une seule monnaie, Bretton Woods s'est fait autour d'une seule monnaie, le dollars".

Pas mal la tentative de réception après ce triple loots boucle piqué en vrille... râté.
Mais là c'est pas passé à coté de l'oeil des juges.

Cela veut dire qu'un nouveau Bretton Woods, comme il l'a annoncé à l'ONU, devra établir une monnaie unique mondiale?

Quand on porte un costard trop grand, on s'emmelle les pinceaux
Sarkozy et plus que maladroit, il s'emballe, c'est ça quand on joue un double jeu.
Le jeu de la démocratie et le jeu du pur pouvoir financier.
Tout cela pour servir l'avènement d'un nouvel ordre mondial.